e vais de banc en banc remplir de cire d’abeille les oreilles de chaque rameur. Deux hommes restés auprès de moi me lient bras et jambes, me fixent au mât sans ménager la corde. Ils retournent s’asseoir et, au signal de l’un d’eux, les rameurs plongent ensemble les rames dans les flots.